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Posts Tagged ‘police de Montréal’

Véhicule d'incendie à chevaux, caserne d'YouvilleSi le chien est le meilleur ami de l’homme, le cheval a sûrement été son plus fidèle allié… avant la venue des chevaux vapeurs! Jusqu’aux années trente et même quarante, le cheval était présent dans toutes les rues de la Ville de Montréal. C’est pourquoi nous vous proposons un nouvel album Flickr mettant en vedette ces merveilleuses bêtes. Les photographies de l’album nous permettent de voir des citoyens utilisant les chevaux pour se déplacer ou simplement pour se divertir au mont Royal. On y voit aussi des commerçants utilisant les chevaux pour  effectuer leurs livraisons et les différents départements de la Ville pour faire la collecte de déchets, pour déblayer la neige ou pour transporter l’eau lors d’incendies.

Avec le temps, les chevaux furent remplacés par les véhicules motorisés. Toutefois, il est encore possible de voir des chevaux dans les rues de notre Ville. Outre les calèches du Vieux-Montréal, ce sont les chevaux de la cavalerie du Service de Police de la Ville de Montréal que l’on croise le plus fréquemment. La cavalerie est surtout utile pour atteindre des endroits non accessibles en voiture, particulièrement les nombreux parcs de la Ville. Nous avons donc ajouté à l’album quelques belles photos de policiers à cheval en 1924 et en 1967.

Policier à cheval à l'Expo 67 et l'Homme de Calder

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Photo : auteur inconnu, 1954, Archives de la Ville de Montréal, VM105,SY,SS1,D71,P004

Dès les années 1930, des milliers de Montréalais prennent d’assaut les sentiers pédestres et les pistes de glisse du mont Royal toutes les fins de semaine. Ici, au lac aux Castors, les amateurs de ski et de toboggan montent, descendent et tombent sous l’œil attentif d’un policier. Les accidents et les bousculades sont en effet si nombreux les jours d’affluence qu’ils justifient la présence policière. C’est dire que l’air frais n’empêche aucunement les esprits de s’échauffer! Au milieu des années 1960, il faut débourser 5 cents pour chaque remontée par câble. D’aucuns disent qu’il coûte trop cher d’utiliser le ski-tow qui, par ailleurs, use les mitaines, provoque la chute des enfants et tache les vêtements.

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Photo : auteur inconnu, 1947, Archives de la Ville de Montréal, VM94,SY,SS1,SSS17,Z383-001

En juillet 1918, le Service de police embauche les quatre premières policières, qui sont congédiées presque aussitôt, moins de deux mois après l’Armistice. Il faut attendre la Seconde Guerrepour que la Villeengage de nouveau et pour de bon d’autres policières. L’offre d’emploi afin de pourvoir vingt postes est publiée le 30 avril 1946. Les qualifications requises sont nombreuses : bilinguisme, âge minimal de 25 ans, santé robuste, connaissance des problèmes sociaux féminins et plus encore. Sur 109 candidatures reçues, seules 11 sont retenues. Après 28 jours d’entraînement, où la culture physique n’est qu’un élément du programme, ces pionnières intègrent le corps policier. Spécialisées dans la lutte contre la criminalité juvénile, elles gagnent 1 500 $ par an et, contrairement aux hommes, n’ont pas droit au port d’arme.

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Montréal 65 (juin 1965)Le numéro de juin 1965 nous présente les sujets suivants : l’Université McGill, les arts et les affaires,  les expositions universelles de 1851 à 1967, la police de Montréal, le chienne Pilotte de Lambert Closse, Irving Layton (un texte d’Yves Thériault), Radio-Canada et les Canadiens de Montréal. La section Actualités nous renseigne, entre autres, sur la fantaisiste Annie Cordy, les Rolling Stones et le docteur Wilder Penfield.

Pour lire ce numéro, rendez-vous à l’adresse suivante : http://fr.calameo.com/read/000203274a9ac56ad40d9

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